Humour!
2 participants
Humour!
Vous pouvez poster des blagues! ( sa remonte le morale ) et on aime toujours sa lire des blagues!
Re: Humour!
LOL Prenez le temps de le lire... AVIS AU JEUNE ET PERSONNE NE VOULANT PAS VOIR DE SACRE!
Trop drole...
Un gars en tabarnak comme notre malheureux accidenté, peut expliquer très rapidement le jargon québécois à un non-initié.
Le travail du réclamant consistait à descendre du toit d’un édifice de deux étages un surplus de briques qui était resté sur le toit.
QUESTION : Monsieur, auriez-vous l’amabilité de raconter les faits de l’accident ? Votre réponse est enregistrée.
RÉPONSE : J’pensais sauver du temps. J’ai fixé un madrier avec une poulie en haut de la batisse et j’ai passé une corde dans la poulie avec les deux bouttes qui descendent jusqu’a terre. J’ai attaché un baril vide au boutte de la corde, pis j’le monte en haut de la batisse. Ensuite j’attache l’aute boutte de la corde à un arbre. Là, j’monte sul toit, pis j’remplis le baril de briques. Ensuite, je r’tourne en bas pis j’viens pour détacher la corde pour faire descendre le crisse de baril, mais le tabarnac de baril est benque trop pesant pour moé et avant que je réalise quoi que ce soit, hostie, le baril me monte en l’air yenque d’une chotte. Là, chu trop haut pour lâcher la corde, j’ava pas le choix, j’ai tenu la corde en hostie. A moitié chemin, j’rencontre le crisse de baril qui descendait; j’en ai recu un calvaire de coup sur l’épaule; tabarnac que ca m’a fait mal…Mais cé pas toute; moé je continue à monter; Rendu en haut, j’me pette la tête sul câlisse de madrier, pis j’me prends les doigts dans l’hostie de poulie… J’pensa parde connaissance. Quand l’baril touche à terre, le fond pette pis l’baril se vide. Asteur, ciboire,chu plus pesant que l’baril ; ca fa qu’hostie là j’descends en tabarnac; pis à moitié chemin en descendant, j’rencontre encore le crisse de tabarnac de baril qui, lui, montait. Y m’a pas manqué l’calisse, y m’a pogné drettes’une jambe; chu v’nu blême. Rendu en bas, j’mécrase sul calisse de tas de briques… J’pensa mourir là. Rendu là, j’me rappelle pu grand chose; chu tout étourdi, ca fa que j’lâche la crisse de corde, pis l’baril se met à r’descendre, pis me calisse un coup s’a tête; pis j’me r’trouve à l’hopîtal. C’est pour cà que j’demande un congé de maladie.
Trop drole...
Un gars en tabarnak comme notre malheureux accidenté, peut expliquer très rapidement le jargon québécois à un non-initié.
Le travail du réclamant consistait à descendre du toit d’un édifice de deux étages un surplus de briques qui était resté sur le toit.
QUESTION : Monsieur, auriez-vous l’amabilité de raconter les faits de l’accident ? Votre réponse est enregistrée.
RÉPONSE : J’pensais sauver du temps. J’ai fixé un madrier avec une poulie en haut de la batisse et j’ai passé une corde dans la poulie avec les deux bouttes qui descendent jusqu’a terre. J’ai attaché un baril vide au boutte de la corde, pis j’le monte en haut de la batisse. Ensuite j’attache l’aute boutte de la corde à un arbre. Là, j’monte sul toit, pis j’remplis le baril de briques. Ensuite, je r’tourne en bas pis j’viens pour détacher la corde pour faire descendre le crisse de baril, mais le tabarnac de baril est benque trop pesant pour moé et avant que je réalise quoi que ce soit, hostie, le baril me monte en l’air yenque d’une chotte. Là, chu trop haut pour lâcher la corde, j’ava pas le choix, j’ai tenu la corde en hostie. A moitié chemin, j’rencontre le crisse de baril qui descendait; j’en ai recu un calvaire de coup sur l’épaule; tabarnac que ca m’a fait mal…Mais cé pas toute; moé je continue à monter; Rendu en haut, j’me pette la tête sul câlisse de madrier, pis j’me prends les doigts dans l’hostie de poulie… J’pensa parde connaissance. Quand l’baril touche à terre, le fond pette pis l’baril se vide. Asteur, ciboire,chu plus pesant que l’baril ; ca fa qu’hostie là j’descends en tabarnac; pis à moitié chemin en descendant, j’rencontre encore le crisse de tabarnac de baril qui, lui, montait. Y m’a pas manqué l’calisse, y m’a pogné drettes’une jambe; chu v’nu blême. Rendu en bas, j’mécrase sul calisse de tas de briques… J’pensa mourir là. Rendu là, j’me rappelle pu grand chose; chu tout étourdi, ca fa que j’lâche la crisse de corde, pis l’baril se met à r’descendre, pis me calisse un coup s’a tête; pis j’me r’trouve à l’hopîtal. C’est pour cà que j’demande un congé de maladie.
Re: Humour!
Un vieux monsieur flane dans un musée ou de nombreuses peintures sont exposées.
Il s'arrête devant l'une d'entre elles et interpelle le gardien :
- C'est quoi cette merde ?
- C'est un Van Gogh, monsieur.
Il fait quelques mètres et appelle le gardien :
- C'est quoi cette saloperie ?
- C'est un Miro, monsieur.
Il fait quelques mètres de plus et rappelle le gardien :
- C'est quoi encore cette horreur ?
- C'est un miroir, monsieur...
Phil
Il s'arrête devant l'une d'entre elles et interpelle le gardien :
- C'est quoi cette merde ?
- C'est un Van Gogh, monsieur.
Il fait quelques mètres et appelle le gardien :
- C'est quoi cette saloperie ?
- C'est un Miro, monsieur.
Il fait quelques mètres de plus et rappelle le gardien :
- C'est quoi encore cette horreur ?
- C'est un miroir, monsieur...
Phil
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